Collectif Mamans

Marjorie est la maman de deux enfants qu’elle a eut après avoir pris le temps de voyager avec son conjoint. Après son premier accouchement elle a de gros saignements mais finalement rien d’anormal, elle peut rentrer chez elle. Elle découvre alors la maternité, l’allaitement compliqué au départ et les nuits courtes. C’est à l’arrivée de sa fille que les choses se compliquent car de nouveau après l’accouchement elle perd beaucoup de sang. Elle alerte les sage-femmes mais on lui dit que c’est normal et qu’il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Sauf que deux mois plus tard les saignements sont toujours importants et lors d’une visite chez le gynéco, celui-ci l’informe qu’elle a des débris placentaires qui peuvent causer une hémorragie et doivent donc être retirés rapidement. D’abord par voie orale, sans succès pour Marjorie, elle doit ensuite subir un curetage. Mais Marjorie allaite et s’inquiète de devoir écourter son allaitement à cause d’une anesthésie qui aurait pu être évitée si elle avait eu dès le début une rév

L’idée la plus répandue en matière d’accouchement est qu’il est douloureux comme nous le martèle le célèbre adage « tu accoucheras dans la douleur ». Marie-Pierre a expérimenté la mise au monde de son enfant dans l’extase, la joie et la sérénité. Elle n’avait au départ aucune idée de ce que serait son schéma de maternité, c’est un chemin qui s’est dessiné au fil de sa formation d’abord en tant que médecin généraliste et surtout lorsqu’elle s’est orientée vers l’acupuncture, la médecine traditionnelle chinoise et après avoir visionné un film qui a balayé ses appréhensions en matière d’accouchement physiologique. Un beau jour elle découvre sa grossesse surprise et s’oriente naturellement vers une maternité qui propose un accompagnement sans péridurale. Et le jour J, bien décidée à vivre son accouchement rêvé, Marie-Pierre ne se laisse pas déstabiliser par les blouses blanches car elle a elle-même ce statut. Et mine de rien ça aide à garder le cap même pendant les contractions ! Un épisode rassura

L’idée la plus répandue en matière d’accouchement est qu’il est douloureux comme nous le martèle le célèbre adage « tu accoucheras dans la douleur ». Marie-Pierre a expérimenté la mise au monde de son enfant dans l’extase, la joie et la sérénité. Elle n’avait au départ aucune idée de ce que serait son schéma de maternité, c’est un chemin qui s’est dessiné au fil de sa formation d’abord en tant que médecin généraliste et surtout lorsqu’elle s’est orientée vers l’acupuncture, la médecine traditionnelle chinoise et après avoir visionné un film qui a balayé ses appréhensions en matière d’accouchement physiologique.Un beau jour elle découvre sa grossesse surprise et s’oriente naturellement vers une maternité qui propose un accompagnement sans péridurale. Et le jour J, bien décidée à vivre son accouchement rêvé, Marie-Pierre ne se laisse pas déstabiliser par les blouses blanches car elle a elle-même ce statut. Et mine de rien ça aide à garder le cap même pendant les contractions !Un épisode rassurant

Melina est la maman de quatre enfants et a vécu sa maternité au fil de l’eau, sans apprentissages particuliers et avec plein de découvertes. D’abord le diabète gestationel pendant la grossesse, la peur des douleurs de l’accouchement, puis la difficulté de l’allaitement, le retour au travail trop rapide et celle du post-partum. Trois garçons plus tard, elle a aussi essuyé les remarques quant à sa quatrième grossesse qu’on lui prêtait d’intentionnelle pour avoir enfin une fille. Ce n’était pas le cas, Mélina voulait juste un quatrième enfant. Et ce fut une fille.Puis au fil des naissances, Mélina a pris de l’assurance, à apprivoiser l’allaitement, a appris à être à la tête d’une famille nombreuse et surtout à vivre sa maternité comme elle l’entend. Car comme elle le dit si bien : on vit toutes la même chose alors autant s’entraider, positiver et déculpabiliser.Une histoire de maternité ordinaire finalement dans laquelle beaucoup d’entre vous se retrouveront certainement. Car peu importe comment la maternité arr

Clotilde est la maman de neuf enfants. C’est à vingt ans qu’elle est devenu mère pour la première fois et si chacune de ses grossesses et chacun de ses accouchements ont été difficiles, cela ne l’a pas empêché d’agrandir sa famille. Quatre enfants en quatre ans, et Clotilde ressent l’envie soudaine d’une maternité différente, elle ressent l’envie d’adopter un enfant. Son mari est partant mais le timing n’est pas le bon pour lui, alors Clotilde accepte de patienter et entre temps elle met au monde deux autres petites filles.Sa famille nombreuse est créée, Clotilde s’épanouit dans sa maternité mais l’envie d’adopter un enfant est toujours bien présente. Alors le couple saute le pas et entre dans deux univers inconnus : celui de l’adoption et celui du handicap. Car si Clotilde et son mari veulent adopter un enfant en France, il sera forcément porteur de handicap.La décision est prise, les démarches sont longues, le parcours est sinueux car l’administration française ne comprend pas leur choix d’intégrer le handi

Laura a dix-neuf ans et est en couple depuis quelques mois lorsqu’elle découvre sa grossesse. Et c’est le choc quand son ventre apparaît car en réalité elle est déjà enceinte de quatre mois. Mais son copain la rassure et les voilà embarqués dans l’aventure de la parentalité. Lui, est sportif de haut niveau, elle, a mis sa carrière entre parenthèses le temps du congé maternité. Très proche de son bébé, Laura s’en sépare très rarement, mais l’heure de la reprise du travail a sonné. Elle s’absente une journée et le soir le papa la contacte très inquiet de l’état de leur fille qui pleure et ne mange plus. Ils se retjoignent au CHU et la descente aux enfers va commencer pour Laura. L’état de sa fille est critique, les médecins ne s’expriment pas beaucoup et semblent suspicieux, puis la brigade des mineurs embarquent les parents pour un interrogatoire. Le diagnostique tombe : leur bébé a été victime du syndrome du bébé secoué.Le papa est jugé coupable, Laura perd pied et se raccroche à une vision idéalisée de

Karine n’était pas forcément pressée d’avoir des enfants. La raison principale : sa peur de l’accouchement. Et puis, elle a rencontré son mari et ses craintes se sont envolées. Pour ce premier accouchement, elle programme naturellement la pose de la péridurale, sa mère lui ayant toujours expliqué que c’était une belle avancée pour les femmes. Elle est d’autant plus rassurée lorsqu’elle rencontre son anesthésiste, croisé il y a quelques années plus tôt à une soirée déguisée. Tout se passe très bien, la rencontre avec son petit garçon est merveilleuse et Karine a très vite l’envie de remettre ça ! Elle met au monde sa petite fille sous péridurale également et la famille s’agrandit sous de jolis hospices. Puis elle change de maternité suite à un déménagement, et pour son troisième accouchement la pose de la péridurale ne va pas se passer aussi facilement que les précédentes. L’anesthésiste est hésitante, elle s’y reprend à plusieurs fois et Karine n’est pas du tout à l’aise. Mais l’accouchement se déroule b

Aurélie a grandit au sein d’une communauté religieuse, à part, soudée, mais aussi très surveillée. Elle a connu le porte à porte pour prêcher en famille les convictions des témoins de Jéhovah que certains dénoncent comme étant une secte. Une enfance heureuse, mais conditionnée à la peur dans cette communauté qui craint une fin du monde imminente.Depuis petite, Aurélie a toujours voulu fonder une grande tribu et c’est ce qu’elle a fait rapidement après son mariage à l’âge de dix-neuf ans. Après l’accouchement, elle part s’installer à Paris avec sa petite famille et découvre un autre monde, pas si dangereux finalement. L’arrivée rapide des on deuxième bébé les conduira à se rapatrier à la campagne, au sein de leur congrégation et ses nouvelles responsabilités de mère l’amènent à prêcher deux fois plus pour protéger ses enfants. Sa troisième grossesse arrive brutalement suite à un retour de couches après seulement trois mois, chose qu’elle ne vit pas bien du tout. Entre pression et soutien de la communauté, fris

Au départ, Virginie n’avait pas spécialement envie de devenir maman, elle y voyait beaucoup de contraintes à sa liberté. Puis elle a rencontré le bon, l’homme qui allait partager sa vie et ensemble ils ont rapidement décidé de devenir parents.Si la grossesse s’est bien passée, elle fut de courte durée car Virginie a accouché plus de deux mois avant son terme. L’accouchement se passe bien, Virginie se prépare à accueillir un tout petit bébé, elle l’a découvre de dos, le temps d’une caresse et sa fille grande prématurée est immédiatement transporter dans une grande salle de réanimation, avec toute une armée de bébés guerriers où elle va se battre pour la vie pendant de longues semaines.En France ce sont 165 bébés qui naissent prématurés chaque jour. Alors comment cela se passe t-il pour ces femmes qui deviennent mères et sont aussitôt séparées de leur bébé ?Dans cet épisode, Virginie nous raconte sa grossesse et le jour où elle a perdu les eaux, elle nous parle de son accouchement très doux, du déni de la préma

Meghane a toujours eu envie de devenir maman jeune et cela tombe bien car elle est rapidement tombée enceinte. Une grossesse aux débuts difficiles avec saignements et nausées fréquentes mais tout se résorbe heureusement rapidement. Les mois restants se déroulent paisiblement, tous les tests habituels sont au vert et arrive le jour de la rencontre.Meghane accouche de son premier bébé, un petit garçon porteur de la trisomie 21. Elle ne s’en rend pas compte lors de leur premier regard, et c’est quelques heures plus tard, sans la présence de son conjoint qu’un pédiatre peu emphatique lui annonce froidement la nouvelle. Elle est seule dans la pièce, son monde s’effondre.Même pas le temps de réaliser ce qui lui arrive que Meghane est plongée dans deux univers complètement nouveaux pour elle : la maternité et le monde du handicap. Dans cet épisode Méghane nous raconte la découverte de la trisomie 21 de son nouveau-né, comment elle et son mari ont tout de suite formé une équipe solide et créé leur cocon, pourquo

Marie a mis sept ans pour tomber enceinte. Sept longues années durant lesquelles elle a fait face à l’infertilité et à tout ce qui va avec : espoir, déceptions, culpabilité mais aussi les conseils non sollicités comme les « arrête d’y penser », les mauvaises rencontres médicales, le temps perdu, les piqûres quotidiennes, les inséminations, la PMA…Alors pendant son périple, munie de son carnet, Marie a noté les injonctions patriarcales qui régissent l’infertilité, elle a dessiné les situations ubuesques qu’elle a vécue, et a fait de sérieuses recherches pour briser les tabous avec humour dans sa BD « Un bébé si je peux ».Un couple sur cinq connaît des difficultés pour avoir un bébé, et Marie est bien décidée à démonter les idées reçues comme quoi la stérilité serait liée au mental.Dans cet épisode Marie nous plonge sans filtre dans l’univers de la PMA, elle nous raconte toutes les épreuves traversées physiquement et psychologiquement, sa vie de couple dans ce parcours, et comment elle a acc

Dans ce nouvel épisode, nous allons voyager entre la Thaïlande et Ibiza, entre l'univers de la mode et la volonté de rester libre, entre l’enfance qui marque et des chiffres qui comptent.Tara est la fondatrice de Numero 74, la marque qui décore les chambres des enfants, habille les bébés, inspire les parents et accompagne vos sessions de yoga. Numero 74 a créé tout un univers en gaze de coton dont chaque pièce est fabriquée à la main.Et tout a commencé au cours d’un voyage lorsque le petit garçon de Tara se prend d'amitié pour un éléphanteau thaïlandais. S’en suivent des allers-retours en Thaïlande et la rencontre avec un chauffeur de touk-touk qui deviendra l’associé de Tara. Tout un merveilleux réseau local se met alors en place, et ce sont des centaines de femmes de petits villages, de coopératives mais aussi en prison qui s’organisent pour confectionner chaque nouvelle idée.Dix ans plus tard, c’est à Ibiza que Tara poursuit sa vie et crée un lieu qui rassemble la créativité, les rencontres et le partage.

Julie est la maman deux petits garçons dont Léo, son premier bébé est parti rejoindre les étoiles beaucoup trop tôt. Après deux ans de PMA, une première grossesse et un accouchement qui se passent bien, la vie à trois se construit paisiblement. L’heure de la reprise professionnelle a sonné, et après avoir essuyer plusieurs refus de la crèche, Léo est finalement confié à une assistante maternelle recommandée. Quelques semaines se passent jusqu’au jour où Léo est retrouvé inanimé dans son lit, victime de la mort inattendue du nourrisson. Julie va alors recevoir le coup de téléphone qui bouleversera à jamais sa maternité et la fera entrer dans un long processus judiciaire. Car c’est chez l’assistante maternelle que Léo a rendu son dernier souffle.Dans cet épisode Julie nous raconte cette journée qui a tout fait basculer, elle nous explique ce qu’est la mort inattendue du nourrisson et comment l’éviter, elle nous parle de ce qui lui a donné la force de continuer sa vie sans Léo à ses côtés mais à jamais dans

Claire est une maman transgenre. Pendant une trentaine d’années, elle gardera son secret bien enfoui pour rester dans les « bonnes » cases. Elle vit près d’un an et demi en couple, lorsque sa compagne tombe enceinte, et cette grossesse surprise qui chamboule va être aussi très bien vécue. Finalement le couple se sépare et dans la tempête, Claire ressent plus fort que jamais le besoin de faire son coming-out. S’en suivent des changements administratifs et la nécessité d’en parler à sa fille alors âgée de quatre ans. C’est donc à travers le dessin et la création d’un conte moderne que Claire va lui raconter son histoire.Dans cet épisode Claire nous raconte comment elle a expliqué sa transidentité à sa fille. Comment sa fille devenue ado vit cela mais aussi quels ont été les obstacles rencontrés, la peur d’être destituée de sa maternité, ce que cela implique à chaque rentrée scolaire de sa fille et avec les autres parents d’élèves. Elle nous parle de la nécessité d’inclure les personnes transgenre

Pour Nathalie, la maternité est arrivée comme une évidence, sans trop se poser de questions. Là où elle a commencé à s’en poser c’est lorsqu’elle a découvert un cycle très irrégulier après l’arrêt de sa pilule. La présence de kystes nécessite une aide pour stimuler ses ovaires et finalement Nathalie est rapidement enceinte.Lorsqu’elle fait ses premiers pas dans la maternité, Nathalie comprend rapidement qu’elle veut changer de rythme de vie. Ses souvenirs d’enfance en Afrique remontent délicatement à la surface et elle se rend compte que son quotidien effréné en Belgique ne convient pas à sa nouvelle vie de maman. Alors toute la petite famille part s’installer à Kigali, au Rwanda. Sa deuxième grossesse arrive sans encombres mais en parallèle le père de Nathalie est très malade et succombera à son cancer. Difficile alors de jongler entre la vie qu’elle porte et la mort qu’elle accompagne. C’est donc en Belgique qu’elle accouchera une seconde fois et l’arrivée de sa deuxième fille apportera toute la douceu

Justine est la maman d’une petite fille de deux ans qui est arrivée par surprise après neuf mois de vie de couple et alors qu’elle était sous pilule. Quelques complications au début mais qui se résorbent assez vite et elle peut mener à bien sa grossesse et rencontrer sa première fille. Après cet échec de contraception, sous les conseils de sa sage-femme, Justine se fait poser un stérilet mais retombe enceinte un an après malgré cela. Elle fait alors enlever son stérilet pour poursuivre sa deuxième grossesse mais le gynécologue ne voit rien à l’échographie et évoque une potentielle grossesse extra-utérine.Après la prise de sang, le terme fausse couche est posé mais Justine ressent de fortes douleurs et se dirige aux urgences. Les jours passent sans véritable diagnostic et l’attente est longue… Dans cet épisode, Justine nous raconte ses deux grossesses surprises sous contraceptions, l’arrivée de sa fille dans le jeune couple et la découverte de sa grossesse extra-utérine passée sous silence jusqu’à l’

Nathalie est la maman de deux garçons, jumeaux. Et pour en arriver là, elle a traversé un sacré parcours ! Souhaitant avoir un bébé dès ses vingts ans, le sujet est abordé au sein de son couple quelques années plus tard. Mais le couple se sépare au même moment et Nathalie ressort abîmée de cette relation. Elle a alors envie de vivre sa vie de célibataire et de jeune femme pleinement. Puis l’approche de la trentaine, des cycles irréguliers, et un pressentiment qui lui dit qu’elle ne pourra pas avoir d’enfant. Mais elle est jeune donc d’après les médecins, il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Nouveau couple, un désir d’enfant toujours présent, un diagnostic médical d’ovaires polykistiques et un début de parcours de PMA qui mettra le couple à la séparation.Retour à la case départ quand un ancien petit-ami propose à Nathalie de l’aider à concrétiser son rêve de maternité en devenant le géniteur de son enfant. Marché conclu, mais après des mois de tentatives, rien. Le projet tombe à l’eau et Nathalie se lan

Vous avez peut-être déjà vu Nadia Karmel à la télé, dans un journal ou sur la couverture de son livre « Elles s’aimaient très très fort ». Son histoire a été fortement relayée dans les médias et pour cause.Nadia est devenue mère pour la première fois d’une petite fille Lila à l’âge de vingt cinq ans comme elle le désirait. Après une séparation avec le papa, elle retrouve l’amour et agrandit sa famille avec une deuxième petite fille Adélaïde et son petit garçon Isaac.Une vie de famille paisible près de Reims, trois enfants en pleine santé, rien ne pouvait présager le drame qui allait survenir. Le 3 avril 2018 tout va pourtant basculer. Nadia est en voiture avec ses trois enfants quand un automobiliste en excès de vitesse les percute de plein fouet. Ses deux filles ne survivront pas à l’accident, son fils alors âgé d’un mois gardera des séquelles et Nadia sera également hospitalisée.Alors comment se relève t-on après une telle épreuve ? Comment Nadia a t-elle décidé de poursuivre sa vie dans la lumièr

Aujourd’hui c’est #LeTourbillonFamily ! Pour ce nouvel épisode, je suis ravie d’accueillir la marque Pipouette qui a fait le pari de démocratiser l’accompagnement des émotions de nos enfants.Et c’est Nathalie, la fondatrice qui nous raconte comment elle a imaginé ces petits lapins qui changent de visages.Nathalie a arrêté ses études après son bac et a commencé un job d’été qu’elle occupera finalement pendant six ans. À vingt-quatre ans elle décide de quitter ce travail pour reprendre ses études, et débarque à Paris sans connaître personne. De boulots en boulots, elle sent que les années défilent et qu’elle ne trouve pas ce qui la fait vibrer malgré un certain confort financier.Elle tombe enceinte et c’est le déclic : elle ne veut plus de cette vie professionnelle et veut donner du sens à ce qu’elle fait. Rupture conventionnelle, début de maternité et les émotions fortes de sa fille vont lui donner l’idée de créer une poupée qui permettra aux enfants de parler de leurs émotions plus facilement.L’idée de Pipoue

Alexandra a toujours pensé que sa maternité ne serait pas une mince affaire et cette pensée venait des douleurs qu’elle ressentait au moment de ses règles. Alors que les médecins lui ont toujours fait comprendre qu’avoir mal au ventre était normal, on finira par lui diagnostiquer des trompes bouchées. C’est donc par la PMA qu’elle débute son projet de grossesse, laquelle se transforme en grossesse gémellaire. Tout excitée de devenir maman, malheureusement une pré-éclampsie va avancer le terme de son accouchement et ses deux filles naissent prématurées, deux mois plus tôt que prévu. Tout s’enchaîne alors très vite, une césarienne en urgence, deux bébés en néonat et Alexandra qui comprend rapidement qu’elle n’est pas prête pour tout ça. Complètement secouée par cet immense tourbillon, elle ne sait pas comment s’y prendre avec ses bébés et ne ressent pas d’amour immédiat pour ses deux filles. Alors elle fait tout mécaniquement, pleure beaucoup et il lui faudra du temps pour accepter que la vague d’amour n’a