Collectif Mamans

Margot pensait vivre une grossesse fabuleuse, épanouie mais elle fut moins idéale que prévue car elle a été alitée quasi six mois. Dépassement du terme, trois jours pour accoucher, une péridurale paralysante pendant quatre jours, bref c’était bien loin de ce qu’elle s’était imaginé.La suite des galères continue avec un allaitement chaotique dû à une allergie à son propre lait. Pendant un an, elle doit trouver des solutions pour apaiser les douleurs des mastites et tirer son lait ce qui va l’épuiser.Et comme cela ne suffisait pas, quelque temps plus tard Margot fait un AVC qui va mettre entre parenthèse sa maternité. Pendant de longs mois elle va devoir réapprendre les gestes simples ce qui va créer une relation spéciale avec son petit garçon qui apprend les mêmes choses en même temps qu’elle : manger, marcher, parler… Et ce qui va pousser Margot a se dépasser, c’est l’envie de retrouver une vie la plus normale possible pour son fils. Elle se met également à illustrer ses aventures pour laisser une trace sur s

Lindsay est entrée dans la maternité vers trente ans, comme une évidence, comme la suite logique de sa vie. Si elle s’est sentie malmenée pendant son accouchement, elle a en revanche repris le contrôle dès qu’elle a eu son enfant dans ses bras. C’était elle la maman, c’était elle qui décidait.Elle a donc décidé d’allaiter son petit garçon sans savoir qu’elle entrait dans une aventure lactée à très long terme. Un mois, puis trois, puis un an, puis trois ans, Lindsay a tout fait au feeling et a eu la possibilité de poursuivre son allaitement sans encombre. Elle a également découvert toutes les injonctions liés à l’allaitement, tous les mythes et les non-dits. Sans parler du manque d’accompagnement des femmes qui les conduit à abandonner ce projet naturel.Dans cet épisode, Lindsay nous raconte son parcours dans la maternité, comment elle a vécu son allaitement et pourquoi elle en a fait son cheval de bataille, jusqu’à devenir la justicière des boobz ! Bonne écoute !Pour soutenir Le Tourbillon, je vous invit

Elodie est la maman de cinq enfants et elle a connu seulement trois grossesses. Faites le calcul ! Une première grossesse à l’âge de vingt ans durant laquelle elle se sentait infantilisée par l’équipe soignante et un accouchement qui lui a laissé des traces et qu’elle pensait le seul et dernier de sa vie. Finalement elle connaitra une fausse couche puis une grossesse quelques années plus tard et un accouchement physiologique. Si elle pensait cette fois s’arrêter là, son mari lui désirait une fratrie de trois enfants comme il avait connu dans son enfance. Alors Élodie retombe enceinte et c’est le choc quand le couple découvre qu’ils attendent des triplés. Un imprévu de taille qui apporte son lot de questions et de craintes niveau finances.Après le doute Élodie comprend finalement qu’elle est ok avec cette nouvelle et elle se lance dans cette troisième grossesse avec un challenge : aller le plus loin possible pour que ses trois bébés ne soient pas trop prématurés. Dans cet épisode Élodie nous raconte

Clara a dix-neuf ans lorsqu’elle découvre qu’elle est enceinte. Clara découvre qu’elle est enceinte le jour même de son accouchement, c’est ce qu’on appelle le déni de grossesse total. Neuf mois sans qu’elle ne sache qu’elle porte la vie. Le choc.Si elle a bien eu quelques symptômes pendant ces neufs mois, Clara a vu des médecins qui ont mis cela sur le dos du stress de ses études. Au cas où, elle a quand même fait un test de grossesse qui s’est révélé négatif.Et c’est une nuit que tout bascule. Des douleurs intenses, un médecin à son chevet, des ambulanciers, une fissure de la poche des eaux et la nouvelle tombe : madame vous êtes en train d’accoucher, vous allez avoir un bébé.C’est donc sans aucune préparation que Clara va donner naissance à cet enfant qu’elle n’attendait pas. Aucune préparation non plus pour aimer ce petit garçon qui a déboulé dans vie. Si Clara est tout de suite à l’aise pour prendre soin de son bébé, il lui faudra un long moment pour apprendre à devenir mère et à se reconstruire.Bonne éc

Aurélia a connu trois accouchements et chacun d’entre eux a été unique et mémorable. Sa première fille est arrivée avant terme, sa deuxième est arrivée en un éclair et son troisième accouchement a malheureusement été traumatisant.Elle souhaitait un accouchement physiologique dans une salle nature et avait rédigé à quatre mains avec son mari leur projet de naissance. La maternité choisie était tout à fait adaptée, le projet était validé et agrafé à son dossier pour que la sage-femme présente le jour J puisse prendre connaissance de ses souhaits. Tout avait bien démarré, la confiance était installée, Aurélia était détendue, on lui fait couler un bain, la sage-femme est adorable, bref tout s’annonce pour le mieux. Mais le temps passe et le c’est bientôt l’heure du changement de garde. Une nouvelle sage-femme arrive et l’ambiance devient glaciale. Tout le projet de naissance d’Aurélia s’écroule et elle est victime de violences obstétricales. Dans cet épisode, Aurélia nous raconte son évolution dans la m

Au collège, Soazig a un coup de foudre pour celui qui deviendra l’homme de sa vie, un homme qui souhaite s’engager dans la marine. Ce monde de l’armée n’est pas inconnu pour Soazig et c’est tout naturellement qu’ils vont mettre en place des rituels pour gérer les absences régulières que le métier engendre.Au fil du temps vient la première grossesse, une seconde, une troisième et une quatrième, et Soazig est plongée dans sa maternité pendant que son mari est quelque part dans l’océan. Des au revoirs sur les quais du port, une communication impossible pendant des mois et des retrouvailles toujours précieuses.Dans cet épisode, Soazig nous raconte ses différentes grossesses avec et sans son mari à ses côtés, elle nous parle de l’importance de préserver son couple véritable pilier pour la famille, des ajustements qu’il faut faire quand le papa est vu en héros à son retour par les enfants et qu’elle doit lui laisser sa place dans l’éducation, et de cette vie un peu à part qui roule totalement pour eux.Bonne écoute

Illana a su très tôt qu’elle voudrait devenir maman et avait une vision idéalisée de la maternité. À trente quatre ans, elle tombe enceinte, vit une grossesse douce et un accouchement physiologique comme elle le souhaitait. Pensant avoir fait le plus dur, Illana va rapidement déchanter en s’isolant petit à petit dans une dépression post-partum. Elle découvre les difficultés maternelles dont personne ne lui a jamais parlé et finit par demander l’aide d’une professionnelle. Deux ans plus tard, Illana prend connaissance de la censure d’une publicité montrant une femme en post-partum et c’est alors que son combat commence. Avec trois amies elle lance le hashtag #monpostpartum pour que les tabous sur l’après accouchement soient levés, pour que toutes les femmes aient connaissance d’une réalité que la société veut édulcorée. Cela fait le tour des réseaux sociaux et est rapidement médiatisé.Dans cet épisode, Illana retrace son parcours de grossesse à Tel Aviv, elle nous parle de ses débuts dans la maternité, de

Violette a deux enfants proches de la vingtaine, et comme beaucoup de mamans, elle s’inquiète vite quand ses bébés ne sont pas près d’elle. Sauf que si Violette a une voire mille raisons supplémentaires de s’inquiéter, c’est que son fils et sa fille sont noir.e.s. Et être noir.e.s dans une société qui s’accroche à ses privilèges et nie encore l’existence du racisme, cela peut être dangereux. Alors après la vague de carrés noirs et de soutien sur les réseaux sociaux suite au mouvement Black Lives Matter, qu'en est-il de la réalité ?Dans cet épisode Violette nous raconte ses deux grossesses, son accouchement avec puis sans péridurale, et ses premiers pas dans la maternité. Elle nous parle de l’éducation stricte qu’elle a reçue petite et qui lui a appris à se faire discrète en tant que fille noire en France. Violette nous explique sa vision d’un monde qui ne changera pas, pourquoi il faut mettre à jour les livres d’histoire et comment elle éduque ses enfants en leur parlant de tous les possibles tout en devant l

Mégane a 26 ans et est en couple avec son chéri depuis le collège. Il y a quelques mois ils ont décidé de se lancer dans le tourbillon de la maternité et pas une seconde elle ne s’attendait à y entrer par ce chemin là. Pourtant Mégane a un pressentiment dès que son test de grossesse affiche positif et même si elle se projette rapidement, une petite voix lui dit que quelque chose ne va pas.Première échographie, rien à l’écran et le verdict tombe : Mégane fait une grossesse molaire. Elle repart effondrée et avec ce terme qu’elle n’a jamais entendu auparavant, sans plus d’explication. Et puisque le flou perdure trop longtemps, Mégane va faire ses propres recherches pour comprendre ce qu’est une grossesse molaire. Elle nous explique tout dans cet épisode. Bonne écoute !Pour soutenir Le Tourbillon, je vous invite à lui mettre un maximum d’étoiles sur iTunes ou Apple Podcast et à en parler autour de vous !----------------------------------------------Suivre le Tourbillon sur Instagram : @letourbillonpodca

Laura a toujours rêvé de pouvoir offrir la double nationalité américaine à son futur bébé alors elle s’est expatriée à Miami dès que l’occasion s’est présentée. Une vie de rêve au bord de la mer mais qui cachait quelques mauvaises surprises au moment de sa grossesse.D’abord lorsqu’elle annonce qu’elle est enceinte à son travail, après des fécilitations, Laura est finalement mise à la porte sous de faux prétextes. Ensuite, elle découvre la réalité du système de santé qui est absolument hors de prix. Elle apprend également que la césarienne est opérée pour quasi tous les accouchements, que le congé maternité ne dure que deux jours, et qu’il faut être bien dans ses baskets pour vivre son post-partum notamment lorsqu’on accouche en plein covid.Du rêve américain, à la réalité de Miami, Laura nous raconte ses déboires et pourquoi elle ne recommande pas vraiment d’accoucher en Floride. Elle nous parle évidemment aussi de tout ce qu’elle aime là-bas.Bonne écoute !Pour soutenir Le Tourbillon, je vous invite à lui mett

Mam a 37 ans, est célibataire et voit son horloge biologique tourner. Alors Mam décide un beau jour de faire un bébé toute seule. Et quand elle a une idée en tête, elle fonce. Deux mois plus tard, elle est enceinte et lors de l’enregistrement de cet épisode elle était à la fin de sa grossesse, impatiente de rencontrer son bébé. Chose faite depuis Alors comment a t-elle pris la décision de faire son bébé en solo ? Vers quel pays s’est-elle tournée sachant que c’est toujours interdit en France ? Comment a t-elle sélectionné son donneur ? Commet s’est passée son insémination qu’elle n’imaginait pas si simple ? Qui l'accompagnera à son accouchement ?Je suis tellement contente de vous proposer un témoignage aussi positif sur le parcours d’une femme qui a pris les devants pour devenir mère. Un parcours idyllique, sans déplacement, sans frais trop lourds, qui rassurera sûrement plus d’une célibataire ! En plus on a bien rigolé avec Mam pendant l’enregistrement, j’ai du couper au montage mais je pleurais de

Ghada est gynécologue obstétricienne depuis une quarantaine d’années. Elle est aussi la fondatrice de la Maison des Femmes qui soigne et accompagne les femmes victimes de violences. J’ai rencontré Ghada une première fois lors d’une conférence pour la sortie de son livre « Le sexe et l’amour dans la vraie vie » co-écrit avec l’illustratrice Clémentine Du Pontavice. Puis nous nous sommes retrouvées un dimanche chez elle pour enregistrer cet épisode riche en informations. D’abord son enfance au Liban et la guerre qui l’amènera a quitté ce pays, son arrivée en France et ses études de médecine. Maman de trois enfants, elle nous raconte comment elle a vécu ses grossesses connaissant tous les risques en gynécologie. On aborde le sujet des violences gynécologiques et obstétricales qui font débat, et son envie de venir en aide aux femmes en difficulté. Comment en est-elle venu à créer la Maison des Femmes ? Quel est le rôle de ce lieu qui reçoit aussi de nombreuses femmes enceintes et des mère

Adolescente, Audrey savait déjà qu’elle avait un lien fort avec les bébés et si elle n’entrait pas dans les cases niveau scolaire, elle a su tracer sa route au fur et à mesure que se traçait sa vie. Une première fausse couche à l’âge de vingt ans lui mettra la puce à l’oreille quant à la solitude que peuvent ressentir les femmes dans la maternité. Puis, un bébé solo, une reprise d’études et l’annonce d’un cancer du col de l’utérus finiront de lui montrer clairement la voie, sa voie : elle veut accompagner les jeunes mamans pour les aider à construire une maternité apaisée. Mais en France les cases comptent alors c’est au Canada qu’Audrey, devenue maman de trois garçons, va construire sa vie de famille en même temps qu’elle va construire un accompagnement sur-mesure pour chaque femme.Dans cet épisode, Audrey nous parle de ses grossesses, de l’influence de sa vie personnelle sur sa vie professionnelle, de tout son cheminement avant de s’installer au Canada et de son envie, plus forte que tout, d’accompagne

Pour cet épisode #LeTourbillonFamily, je suis très heureuse d’accueillir la marque Lunii célèbre pour Ma Fabrique à Histoires, le boîtier qui a révolutionné l’imaginaire des enfants.Maëlle Chassard, la fondatrice, nous raconte tout son parcours depuis l’idée jusqu’au succès fulgurant de Lunii. Si Maëlle grandit dans l’imaginaire depuis sa plus tendre enfance, elle a aussi les pieds sur terre et sait déjà très jeune qu’elle écrira sa propre histoire entrepreneuriale. Et c’est lors de son projet d’études qu’elle a un véritable déclic. Les enfants passent trop de temps sur les écrans alors Maëlle veut trouver une alternative ludique pour développer leur imaginaire. L’idée est immédiatement bien accueillie par le jury de son école de design et c’est le début de l’aventure. Tout va alors aller très vite et l’histoire de Lunii ressemble à un véritable conte de fées. Bien sûr elle connaîtra quelques obstacles mais Maëlle nous raconte aussi sans filtres les échecs qui l’ont fait grandir.Vous connaissez sûre

Rêver, imaginer, se lancer, réécrire et rebondir, c’est ce qu’ont fait les entrepreneur.e.s que je vais interviewer dans Le Tourbillon Family. Elles accompagnent notre quotidien de femmes, de futures ou jeunes mamans, nous soutiennent dans la maternité, elles éveillent nos enfants et les regardent grandir… Mais qui sont les créateurs et les créatrices derrière ces marques qui révolutionnent l’univers de la famille ? En grande curieuse et passionnée d’entrepreneuriat, j’ai décidé d’aller à la rencontre de ces visionnaires qui sont allés au bout de leurs idées pour apporter des solutions et une dose de bonne humeur au sein de nos tribus. Des invitées nous racontent sans filtres comment est né leur projet, de l’idée jusqu’au succès.Bienvenue dans Le Tourbillon Family !----------------------------------------------Suivre le Tourbillon sur Instagram : @letourbillonpodcastSite : le-tourbillon.com Become a member at https://plus.acast.com/s/le-tourbillon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour

Elisabeth est la maman de deux petits garçons, des jumeaux. Alors que pour cette grossesse surprise les échographies indiquent que tout va très bien et qu’elle ne désire pas spécialement faire les tests sur la trisomie 21, on lui annonce que l’un de ses bébés en est porteur. Immédiatement le personnel médical propose aux futurs parents de faire un choix, poursuivre la grossesse gémellaire ou faire une interruption sélective de grossesse. Pour Elisabeth et son mari il est hors de question de se séparer de l’un de leur jumeaux d’autant qu’ils connaissent très bien la trisomie 21 ayant un cas dans leur famille proche. C’est donc sous haute surveillance que les jumeaux Gabriel et Christian vont arrivés au service de néonatologie avant de rentrer à la maison ensemble après de longues semaines. Dans cet épisode Elisabeth nous raconte la découverte de sa grossesse gémellaire, elle nous explique pourquoi elle a accueilli la trisomie 21 de son bébé sans grande difficulté, elle nous parle de l’évolution de ses deu

Alia rêve depuis toujours de fonder une famille, une manière pour elle de se reconstruire, un véritable objectif de vie. Toujours célibataire à 31 ans, elle fait une visite de routine chez une gynécologue qui lui annonce qu’elle doit se dépêcher de tomber enceinte car il y a de grandes chances pour qu’elle soit ou devienne infertile. Assommée par cette nouvelle inattendue, Alia voit son rêve lui échapper au fur et à mesure que le temps défile et heureusement deux ans plus tard elle rencontre l’homme de sa vie. Tous les deux sur la même longueur d’ondes, ils décident de mettre le premier bébé en route et grande surprise au bout de quatre semaines Alia est enceinte. Elle découvre alors la maternité et se sent aussi bien larguée dans cet univers complètement inconnu. C’est ce qui va la mener à commencer l’écriture… Trois enfants et six romans plus tard, Alia est une maman comblée et a troqué sa vie d’avocate pour devenir romancière.Dans cet épisode Alia nous raconte son coup de foudre avec l’homme qui la fera re

Delphine est maman de trois enfants et belle-maman d’un garçon. Au départ, elle vit en famille à Paris et travaille dans une banque. Après son divorce, elle va complètement changer de vie. Son amour de jeunesse la recontacte, elle emménage à Amsterdam avec ses enfants puis quitte son métier pour devenir Kraamzorg. Késako me direz-vous ? À Amsterdam une Kraamzorg est une aide à domicile pour les mamans qui viennent d’accoucher. Pendant huit à dix jours, Delphine débarque telle une fée dans le quotidien de nouvelles familles pour les accompagner dans leurs premiers moments de vie de parents. Elle permet entre autres aux jeunes mamans de reprendre des forces, répond à leurs questions, les conseille, les aide dans les soins ou l’allaitement, et leur retire une sacrée charge mentale d’après accouchement.Totalement pris en charge par les assurances et pratique commune aux Pays-Bas, les kraamzorg prennent grand soin des femmes en post-partum et ce métier qui est tellement nécessaire et pourrait reste pourtant encore

Maissa a toujours voulu être maman de plusieurs enfants et connaître la maternité assez jeune pour en profiter. C’est donc à 21 ans, lorsqu’elle rencontre le premier homme de sa vie, qu’elle tombe enceinte. Une grossesse qui s’arrêtera au septième mois et qui la confrontera à un milieu hospitalier qu'elle trouve dur et sans coeur. Après cette épreuve de la vie, Maissa sait qu’elle ne pourra faire son deuil que lorsqu’elle réussira à devenir maman mais pour ses prochaines grossesses, hors de question pour elle de remettre un pied à l’hôpital. Alors elle se renseigne, s’interroge et découvre le monde de l’accouchement à domicile. C’est une révélation… Dans cet épisode Maissa nous explique comment sa première grossesse interrompue l’a finalement conduite à ses accouchements rêvés, elle nous raconte sa rencontre avec la sage-femme qui deviendra une sorte de mentor au-delà de sa maternité, ses quatre accouchements physiologiques à la maison et comment tout ce parcours l’a amenée à vouloir aider les autres.Bon

Marie-Aldine a une soeur jumelle et leur maman les a eu à dix-sept ans. Une surprise de la vie arrivée tôt qui aura pas mal chamboulée les plans de cette famille. Il y a trente huit ans, les infos sur la maternité étaient moins nombreuses qu’aujourd’hui, les tabous d’autant plus grands. Mais une chose était déjà là : devenir la mère parfaite était un objectif en soi.Marie-Aldine a donc pris le contre-pied de l’histoire de sa maman voulant quant à elle avoir un enfant le plus tard possible et profiter de la vie jusque’à trouver celui qui serait le bon. En devenant à son tour maman, tous les sujets tabous lui sautent aux yeux et sa soeur et elle décident d’en faire un bouquin, une sorte de guide de survie pour déculpabiliser les mamans. Elles ont bien compris que la mère parfaite n’existait pas et que la pression était énorme.Dans cet épisode, Maire-Aldine nous raconte l’histoire de sa maman, elle nous parle de l’arrivée de sa fille à l’approche de la quarantaine et du lourd poids de la société qui pèse sur les