Collectif Mamans

Clothilde a toujours voulu avoir des enfants mais elle a aussi toujours eu en tête son histoire de famille. À chaque génération, toutes les femmes de sa famille ont rencontré un problème lors de leur accouchement par voie basse. Aussi lorsqu’après un parcours de PMA, elle tombe enceinte, la question de l’accouchement va se poser. Clothilde ne jure que par la césarienne, sauf qu’en France les femmes n’ont pas vraiment le choix et c’est l’accouchement par voie basse qui est privilégié à l’hôpital public. Les mois passent et l’angoisse monte. Clothilde tente différentes approches pour envisager un accouchement voie basse mais rien n’y fait, le traumatisme générationnel est trop ancré. À deux semaines d’accoucher, elle sera finalement déclarée inapte et aura droit à sa césarienne de « confort ».Dans cet épisode, Clothilde nous raconte cette malédiction des accouchements qui plane sur sa famille, comment elle a vécu sa césarienne qui ne s’est pas passée comme prévu, et lien qu’elle a créé avec sa fi

Elyssa est la maman de deux enfants, une fille et un garçon qu’elle a eu à quatre ans d’intervalle. Si ses grossesses se sont relativement bien passées et ses accouchements ont permis les plus belles rencontres de sa vie, découvrir les impacts sur son corps a été plus difficile à gérer. Les complexes s’installent au fil de ses grossesses, d’abord après l’arrivée de son premier bébé quand Elyssa découvre son nombril entouré d’une peau un peu flétrie. Si cela peut paraître anodin, ce nouveau complexe va l’empêcher de porter des maillots de bain deux pièces. Et tout va s’amplifier après sa deuxième grossesse et les vingt-six kilos pris pendant neuf mois. Maman une deuxième fois, elle ne reconnaît pas son corps. À l ‘extérieur, elle voit son ventre complètement déformé par une peau trop longtemps distendue et de nombreuses vergetures.À l’intérieur, elle subit une descente d’organes et un diastasis qui l’empêchent entre autres de pouvoir se remettre au sport. Mal dans sa peau, Elyssa décide de recourir à

Lorsque Roxane découvre sa première grossesse, elle est déjà bien avancée de quelques mois. Une fois la surprise passée, elle laisse rapidement place à la joie de devenir maman et comme toutes les femmes enceintes, elle se projette et prépare l’arrivée de son bébé. N’ayant pas pu faire le dépistage pour la trisomie, c’est seulement lors de l’échographie du deuxième trimestre que le doute s’installe. Après analyse du DPNI et de l’amniocentèse, les résultats confirment qu’il y a bien une anomalie chromosomique et une malformation cardiaque. À plus de six mois de grossesse, alors qu’elle sent son bébé bouger au creux de son ventre, Roxane doit décider si elle poursuit cette grossesse ou si elle y met fin. Après réflexion et beaucoup de larmes, la décision est prise : elle procède à une interruption médicalisée de grossesse et accouche de son petit garçon né sans vie. Une épreuve qui la marquera pour toujours et dont elle peine à se relever. Mais la vie pointe son nez quelques mois plus tard lorsqu’elle déco

Emilie a toujours eu une vision assez conventionnelle de la façon dont elle construirait sa famille plus tard. En somme, la famille parfaite comme on voit dans les films. Malheureusement ses relations amoureuses n’ont jamais rien eu d’un conte de fées et arrivée la trentaine, la pression monte quand ses amies commencent à fonder leurs familles. Alors elle se met en couple avec la mauvaise personne, un peu pour faire comme tout le monde, pour se marier et avoir des enfants. Cette relation toxique dure un an, un mariage est prévu mais finalement Emilie décide de tout plaquer pour se préserver. L’horloge biologique tourne, le désir d’enfant est là, elle envisage alors de faire un bébé toute seule et après un temps de réflexion, à trente six ans, Émilie décide un matin qu’il est temps pour elle de devenir maman.La décision prise, elle se renseigne sur la PMA en solo, tombe sur de nombreuses cliniques en Espagne, et choisi la sienne un peu au coup de coeur. Elle part faire sa première insémination à Barcelone

Bettina est trentenaire et ne veut pas d’enfant, jamais. Elle est ce que l’on appelle une nullipare (ou childfree pour les plus bilingues d’entre vous). Mais dans une société qui veut que la suite logique d’un mariage soit de faire des enfants et que l’accès au bonheur d’une femme passe obligatoirement par la maternité, ce n’est pas toujours simple de vivre son désir à contre-courant. Car c’est bien de cela dont il s’agit : un vrai désir de ne pas avoir d’enfant. Ce désir elle le partage avec son mari, qui lui a décidé de faire une vasectomie.Pourquoi tu n’en veux pas ? Est-ce que tu ne vas pas regretter plus tard ? Et ton mari qu’est-ce qu’il en pense ? Tu ne seras jamais une vraie femme, c’est égoïste… sont tout autant de questions et d’injonctions auxquelles elle doit répondre au quotidien. Dans cet épisode, Bettina explose le carcan de la famille parfaite en montrant que l’on peut être une femme trentenaire sans enfant, libre, mariée à un homme sans vivre sous le même toit, tout en étant heureuse et

Mélanie a deux enfants, une fille et un garçon, la première née dans une maternité française, le second né dans une maternité suédoise. Il y a plus d’un an avec son mari ils ont décidé de s’installer en Suède et si au départ il s’agissait seulement d’une année sabbatique, le couple a vite pris goût à la vie scandinave et ne compte plus rentrer en France.Souvent citée comme modèle lorsque l’on parle de maternité, la Suède semble être la destination rêvée pour toutes les mères en mal de répartition des tâches, d’équilibre vie pro-vie perso, de post-partum accompagné ou simplement de temps pour une vie de famille. Et si la famille passait avant tout le reste ? Et si l’on vous proposait le package complet pour profiter pleinement de votre maternité ? Dans cet épisode Mélanie nous raconte son enfance avec ses parents d’origine suédoise, ses grossesses qu’elle n’a pas aimé, ses premiers pas dans la maternité sans avoir le coup de foudre immédiat pour ses bébés, cet amour qui se construit petit à petit, elle nous pa

Anne-Charlotte a toujours eu un fort désir de devenir maman et logiquement pour elle après son mariage, elle allait enchaîner avec une grossesse. Pourtant elle avait aussi le sentiment que ce serait compliqué pour elle d’avoir un enfant, et elle n’avait pas tord. Les premiers mois la magie n’opère pas et Anne-Charlotte le vit déjà très mal. Elle ne parle pas de son désir d’enfant à son entourage et ne partage pas sa déception lorsque le bâtonnet continue d’afficher négatif. Et pendant ce temps-là, ses amies annoncent tour à tour leurs grossesses. Au bout de huit mois, son rêve devient réalité, elle est enfin enceinte. Malheureusement quelques semaines plus tard, c’est la fausse couche et l’arrivée de la dépression pour Anne-Charlotte. Elle vit très mal cette épreuve et les naissances des bébés de ses proches en parallèle. Alors elle s’isole de plus en plus sans raconter ce qu’elle traverse et se sentant incomprise. Car comment réussir à garder la face quand toutes ses amies proches annoncent leur grosses

Nadège a toujours souhaité devenir maman. Elle ne sait pas d’où vient ce désir mais c’est aussi ce qui lui a donné envie de travailler auprès des enfants. Pendant des années elle est infirmière puéricultrice au sein d’un service de néonatalogie, faisant le lien entre les parents désemparés et les bébés prématurés. Puis c’est enfin à son tour de donner la vie et bien qu’elle soit du métier, elle galère dans son allaitement et ses débuts de vie de maman. Nadège retourne travailler et déjà son approche vis à vis des mamans change, maintenant elle sait, elle comprend ce que les mères traversent. Pour sa deuxième grossesse, elle prend un congé parental de deux ans et sa revanche sur son premier allaitement écourté car celui-ci va durer quatre ans. Nadège retourne travailler à l’hôpital mais la mauvaise prise en charge des femmes lors de leur accouchement et le manque de personnel et de moyens lui sautent de plus en plus aux yeux. Jusqu’à cette nuit qui va définitivement la convaincre de quitter son poste à l’

Claudia a été mise sous ménopause artificielle pendant trois ans à cause de son endométriose. En couple, elle décide d’arrêter le traitement pour faire un enfant mais quelque temps après cette décision, le couple se sépare. Après la rupture, Claudia flirte avec un homme en soirée et découvre dix jours plus tard qu’elle est enceinte. Sauf que lorsque le bâtonnet affiche positif, elle ne sait pas qui de son ex ou de son flirte est le géniteur. Ça, vous le découvrirez en écoutant l’épisode !Après un temps de panique et de réflexion, elle décide de poursuivre sa grossesse en solo. Les mois passent, Claudia est bien entourée, continue de sortir avec ses ami.es et c’est lors d’une soirée - à sept mois de grossesse - qu’elle rencontre celui qui va devenir l’homme de sa vie et le papa de sa fille.Dans la douceur des vacances d’été, ils font connaissance, elle avec son ventre bien rond et lui déjà fou amoureux. Quelques mois plus tard Claudia accouche accompagnée de sa maman, rencontre Romy sa fille chérie après une c

Leslie est la maman de deux filles et sa maternité l’a menée petit à petit sur le chemin de l’accompagnement. Pendant sa première grossesse elle ne connaissait rien à la maternité et faisait entièrement confiance au personnel médical. Sa grossesse est douce, son accouchement sous péridurale se passe bien et le retour à la maison aussi. Le bonheur ! Rapidement elle veut un deuxième enfant, tombe enceinte et comprend avec le recul qu’elle n’a pas vraiment été actrice de son premier accouchement. Alors cette fois-ci elle prévoit d’accoucher sans péridurale dans une maternité adaptée. Mais le destin en décidera autrement et c’est chez elle que Leslie va donner naissance à sa deuxième fille. Une expérience incroyable qui renforce son idée de changer de métier pour se tourner vers un métier plus humain, dans l’écoute. Elle décide donc de quitter son poste de chargée de projets, d’abord pour suivre une formation d’auxiliaire de puériculture. Mais c’est pendant un stage qu’elle va réellement trouver sa voie, lorsqu’e

Aurélie est entrée dans la maternité par étapes. D’abord elle ne voulait pas forcément d’enfant, enfin pas forcément tout de suite. Puis deux événements vont accélérer les choses et la voilà enceinte. Si le début de sa grossesse se passe bien, cela va ensuite se corser avec des malaises très réguliers dû à son taux de sucre. Au bout de neuf mois elle accouche par césarienne et lorsqu’elle retrouve son bébé, rien, elle ne ressent aucune émotion. Là aussi, c’est par étapes qu’elle va se connecter avec son bébé pendant son post-partum après un allaitement douloureux et quelques nuits courtes. Puis à deux mois et demi Aurélie constate que son bébé a un regard différent des autres bébés qu’elle croise alors elle consulte pour en savoir plus. Rapidement le verdict tombe : son fils est albinos. Le temps de digérer la nouvelle, elle se renseigne sur ce handicap rare, elle se rassure et elle apprend aux côtés de son petit garçon à découvrir le monde d’une autre manière. Bonne écoute !-----------------------------

Flavie a toujours rêvé de devenir maman, de deux enfants. Mais comme on le sait, tout ne se passe pas toujours comme prévu. Malheureusement pour Flavie son parcours vers la maternité commence avec la leucémie de son petit ami. Alors avant de démarrer sa chimio, il doit faire un prélèvement de sperme et Flavie sait à ce moment-là qu’elle devra passer par la médecine pour avoir un enfant. Pendant quatre ans, le projet est mis entre parenthèse et après la rémission, le couple se marie et entre en parcours de FIV. Après plusieurs essais, Flavie tombe finalement enceinte et vit une grossesse plutôt simple jusqu’à ce que les médecins détectent une malformation au coeur de son bébé. Il faudra donc prévoir une opération à la naissance pour soigner cette cardiopathie, opération qui se déroule généralement bien. L’opération est programmée après quelques jours, l’attente est longue et sa petite fille ne reviendra pas à la vie. Flavie devient mamange et doit reprendre son quotidien malgré la douleur. Son envie d’avoir un

Virginie a toujours voulu devenir mère et souhaitait avoir deux enfants d’âges rapprochés. Après avoir eu son deuxième garçon, elle pensait vivre sa dernière grossesse mais le destin et surtout son altruisme vont tout bouleverser. Le frère de Virginie est homosexuel et avec son mari ils ont le doux rêve de pouvoir devenir papas un jour. En Belgique où vit Virginie, la GPA (gestation pour autrui) est légale, cependant il n’y a pas comme dans d’autres pays des agences qui mettent en relation les mères porteuses et les demandeurs. Alors le frère de Virginie lui demande si elle serait d’accord pour porter son bébé. Elle refuse ne se sentant pas capable de se séparer de l’enfant le jour de l’accouchement. Le couple d’hommes se tourne donc vers l’adoption mais la procédure est longue et compliquée. Le temps passe, et l’idée de devenir mère porteuse mûrit dans l’esprit de Virginie. Elle réfléchit beaucoup, discute des heures avec son mari, passe par toutes les émotions avant d’annoncer à son frère qu’elle accepte de

Lorsqu’elle était enfant, Athéna a été placée en famille d’accueil, puis adoptée après avoir été maltraitée par sa mère. Un événement qui lui a certainement donné l’envie de devenir maman assez jeune et la maternité lui a donné une certaine revanche sur sa propre histoire. À vingt ans, elle tombe enceinte de son premier garçon, une surprise, alors qu’elle démarre ses études en BTS. Sa grossesse se passe bien et Athéna se sent tout de suite à l’aise dans son nouveau rôle de maman. Sept mois plus tard, elle fait un test de grossesse et découvre qu’elle est de nouveau enceinte… de triplés. Mal reçue par la femme médecin qui l’ausculte car elle la juge trop jeune, Athéna surmonte ses peurs et se met dans sa bulle pour que sa grossesse multiple se passe sereinement. Elle accouche par césarienne et les triplés restent en soins intensifs car nés prématurément à trente-deux semaines. S’en suivent de nombreux allers-retours jusqu’à qu’ils se retrouvent enfin en famille à la maison. Trois ans plus tard, Athéna déc

Miske a eu sa première fille rapidement après avoir rencontré le papa. Une grossesse surprise qui ne lui a pas fait peur et elle se sent tout de suite à l’aise dans son nouveau rôle de maman. Arrive le moment de la diversification alimentaire et Miske met ses talents de cuisinière au service du développement de sa fille en lui faisant découvrir mille et une saveurs. Elle se sépare du papa de et avec son nouvel amour, Lucas, ils décident de quitter Paris pour aller s’installer dans la maison familiale dans Le Perche. Cette vie au vert en famille se passe bien, Miske tombe enceinte et c’est une de ses amies d’enfance du village devenue sage-femme qui va suivre sa grossesse. L’émotion est belle, mais malheureusement, lorsqu’elle ausculte Miske, elle n’entend plus le coeur du bébé et la grossesse s’arrête. Si une fausse-couche est une épreuve pour celles qui la vivent, une fausse-couche en milieu rural devient un véritable parcours de combattante. Et Miske nous raconte aujourd’hui tous les dysfonctionne

Elodie n’avait pas envisagé de devenir mère au moment où elle a découvert sa grossesse surprise. N’étant pas informée sur quoi que ce soit, elle plonge dans cette aventure avec mille questions, quelques peurs et tout l’humour qui la caractérise. Élodie Arnould est humoriste et a décidé de raconter son histoire sans aucun tabou. Et ça fait vraiment du bien ! Toutes les questions qui ont pu vous passer par la tête pendant votre grossesse et après l’accouchement, Élodie les a eues aussi et en parle en toute décontraction : qu’est-ce qu’on doit faire quand on apprend qu’on est enceinte ? Quelles sont les peurs qui nous traversent quand on a des maux de grossesse ? Pourquoi on va être inquiète jusqu’à la fin de nos jours en devenant maman ? Elle parle aussi des mille appels passés à son gynéco, du langage très codé de la maternité (DPA, gygy…), de ce moment où tu réalises que tu as un bébé chez toi et plein d’autres sujets qui vont vous rappeler des souvenirs. Je vous préviens, on rigole beaucoup dans cet épisode

Jennifer a toujours vécu en fauteuil roulant ce qui malgré les pronostics de la médecine ne l’a pas empêché de devenir mère. Elle rencontre son mari sur Internet et c’est le coup de foudre. Rapidement ils se marient et deviennent les parents de leur premier petit garçon. Quelques années plus tard, l’envie d’un petit deuxième se fait sentir mais le couple ne souhaite pas revivre une grossesse, laquelle avait été compliquée pour Jennifer. C’est également déconseillé par les médecins. Alors ils entament une procédure d’adoption et essuient de nombreux refus. Jusqu’au jour où le téléphone sonne et l’agence d’adoption les informe de la bonne nouvelle : ils sont les heureux parents d’un petit garçon situé à Djibouti. Dans cet épisode, Jennifer nous raconte sa grossesse vécue en fauteuil, sa vie de maman porteuse de handicap, son parcours pour adopter son deuxième enfant, l’arrivée du petit frère et elle nous explique qu’en fauteuil, tout roule !Bonne écoute !----------------------------------------------

Sophie est restée en couple pendant dix ans, son premier amour avec qui elle a souhaité avoir un enfant. Après quelques mois rien ne se passe, un an plus tard toujours rien. Alors Sophie et son copain commencent les examens pour savoir s’ils sont l’un et l’autre bien fertiles. Le parcours de PMA démarre mais rien n’y fait et cela finira par séparer le couple. Sophie reste marquée par les nombreux protocoles très invasifs qu’elle a subit et reprend confiance petit à petit en elle et en son corps. Elle rencontre alors l’homme de sa vie, déjà papa de deux enfants, et va rapidement devenir mère à son tour. Sophie n’avait donc aucun problème de fertilité.Pendant sa grossesse, elle se prépare à un accouchement physiologique, en maison de naissance mais le jour J rien ne se passe comme prévu. Une césarienne plus tard, Sophie n’arrive pas à créer le lien avec son bébé et plonge lentement dans la dépression post-partum. Sa guérison ne se fera que deux ans plus tard lorsqu’elle mettra au monde son deuxième bébé, c

Clémentine a découvert sa grossesse surprise à 23 ans. Elle commençait son premier job et suite à la nouvelle sa période d’essai n’a pas été reconduite. La grossesse se passe bien, les échographies sont bonnes et l’accouchement se déroule aussi plutôt bien. Les nouveaux parents sont les plus heureux du monde mais suite aux premiers soins le mari de Clémentine revient bouleversé car Jean, leur bébé, a son petit pied gauche très tourné vers l’extérieur et avec seulement quatre orteils.Jean va devoir subir une batterie d’examens pour vérifier que cette malformation n’est pas accompagnée d’autres malformations, puis les rendez-vous chez le kiné vont s’enchaîner pendant trois mois avant que le diagnostic tombe. Jean a une agénésie du péroné et il y a deux façons possibles de le soigner : des opérations à répétition ou l’amputation.Dans cet épisode, Clémentine nous raconte la découverte de la malformation de son premier bébé, son entrée dans la maternité, le choix difficile qu’elle a du faire avec son mari et le qu

Cécile ne connaissait rien à la maternité, elle avait même une peur phobique de l’accouchement. Elle voulait des enfants oui, mais n’envisageait pas un instant accoucher sans péridurale, sans césarienne et voire même sans anesthésie générale. Puis elle a découvert sa première grossesse, une surprise, celle qui va complètement modifier son intérêt pour la maternité. Cette première grossesse qui se termine malheureusement en fausse couche après le retrait de son stérilet. C’est à ce moment-là que Cécile découvre le pouvoir du corps, et son envie de devenir mère. Elle retombe enceinte et pendant cette deuxième grossesse, Cécile et son chéri s’informent comme jamais auparavant. Une chose est sûre, l’accouchement se passera loin du milieu médical, et c’est même sans personne autour que leur petite fille va naître au milieu du salon. Les jeunes parents découvrent des pratiques plus proches de leurs envies et deviennent presque experts en maternage proximal. Le couple s’écoute beaucoup et façonne une paren